« Avant la crise, le sport féminin évoluait dans un environnement porteur, et les équipes augmentaient leur budget régulièrement. «Presque toutes les fédérations avaient mis en place des politiques de féminisation », que ce soit au niveau des licenciés ou parmi les dirigeants – même si les femmes restent très minoritaires à ce niveau. » ajoute Marie-Françoise Potereau, présidente de Femix’Sport.
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